Persona non grata dans son village et effacé de la scène publique, une article de Jeune Afrique tente de ramener en vie PAUL ATANGA NJI

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Ca C’est la grosse blague de Jeune Afrique. Il faut laisser Georges Dougueli écrire sur le Cameroun. A moins que ce soit une commande de ATANGA NJI pour améliorer son image. Car avec cet homme qui devait déjà être en prison dans l’affaire CAMPOST Si on était un pays sérieux avec son ami personnel, Jean Pierre Amougou Belinga, on est à l’abri de rien.
Dire que dans les années 1990 c’est ATANGA NJI qui tient le front à Douala contre le SDF sans mentionner Grégoire Owona ou Françoise Foning ça ne fait pas sérieux. Faire un portrait sur ATANGA NJI sans indiquer son passage à la prison de New Bell, quelque chose d’aussi élémentaire dans un portrait journalistique où il aurait suffit d’un clique sur Google montre la complaisance du travail. Faire le portrait de Paul ATANGA NJI sans indiquer que la CONAC, le principal organisme de lutte contre la Corruption au Cameroun a demandé chose exceptionnelle son arrestation montre clairement que le travail de collecte n’a pas été bien fait.
Je vous passe toutes les éloges sur la crise anglophone. Car cet homme ne peut pas faire 1km à pieds dans la zone anglophone sans se faire tabasser ou tirer dessus.
En réalité dans un contexte où un vaste remaniement qui pourrait entraîner la mise au banc de plusieurs personnalités dont certaines impliquées directement dans la gestion de la crise anglophone, CET ARTICLE DE JEUNE AFRIQUE N’EST RIEN D’AUTRE QU’UNE TENTATIVE DE REDORER L’IMAGE D’UN HOMME DE PLUS EN PLUS HONNI. D’AUTANT PLUS QUE CERTAINS RAPPORTS L’ONT TENU POUR RESPONSABLE DE L’HUMILIATION DE PAUL BIYA À NEW YORK.
Boris Bertolt

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