LETTRE PLUS QUE OUVERTE À OWONA NGUINI: «Je pleurs pour ces étudiants qui ont le malheur de vous avoir pour enseignant”

LETTRE OUVERTE À MATHIAS ERIC OWONA NGUINI

 

Je n’irai pas contre les grés de mon coeur qui me refuse toute autorisation de vous respecter; en fait je vous écris cette lettre pour vous mépriser. Je veux que vous voyiez chacun de ces mots comme un crachat sur votre visage, que vous voyiez chaque lettre de chaque mot comme un coup de poignard que j’enfoncerais bien dans votre coeur pour réduire de ce monde le nombre d’aliens aliénés psychopathes qui polluent l’air des honnêtes gens. Oui le monde irait mieux sans des résidus de chromosome dans votre genre qui, épris de frustration, trahissent le sens de l’humanité qui caractérise ne serait-ce que leur morphologie. Vous êtes un ennemi pour le Cameroun et je vous dis ici toute la haine que j’ai pour votre dégueuse personne.

Non mais quel mépris!!! Quelle ignominie !! Vous avez passé des nuits blanches à démontrer follement combien le parti de Maurice Kamto était à l’origine de la vidéo de l’assassinat du mère et ses enfants. Sur les plateaux télé vous nous avez traité, nous internautes, de terroristes cybermiliciens en mission commandée de destabilisation via l’usage de fake new. Vous êtes allé jusqu’à imputer à votre tour ces crimes crapuleux à l’armée malienne. Aujourd’hui, toute honte bue, vous osez “presenter vos excuses” pour espérer rester crédible?! Que vous êtes diabolique. Une énième fois, votre promptitude haineuse à vouloir ternir à tout prix l’image du président Maurice Kamto vous a exposé sous le phare du ridicule.

Aujourd’hui tout le monde sait davantage qui vous êtes et quel est votre rôle dans la misération du peuple Camerounais. Vous n’êtes ni plus ni moins qu’un criminel qui s’efforce de mal en pire à parodier les analystes, les vrais. Ce scandale de plus ajouté à l’affaire Tombi Aroko, la crise anglophone entre autres , renfonce les lignes droites du chemin de votre décrépitude. Je pleurs pour ces étudiants qui ont le malheur de vous avoir pour enseignant; j’imagine oh combien doit être lourd ce fardeau qu’ils sont forcés de porter. Votre ami Atéba Eyenne doit se retourner dans sa tombe, paix à son âme.

Cher tantanpion, vous avez durement fait vos excuses aux Camerounais. Pour certains naïfs ça compte mais pour nous autres ça ne compte pas. Nous ne sommes pas dupes. À aucun moment dans votre sortie vous ne condamnez ces actes criminels dont vous vous êtes faits complices. Il m’est arrivé plus d’une fois d’essayer de comprendre comment est-ce que vous arriviez à dormir la nuit avec la conscience tranquille après avoir regardé fièrement mourir un bb de moins d’un an sous les rafales de votre milice?

Ce ne doit pas être bien dur pour vous, du fait que, vous n’avez jamais pu faire d’enfant. Vous ne connaissez pas les cris d’un bébé qui pleure ou qui rire avec son père et sa mère, vous ne savez rien de sa fragilité, rien de l’espoir qui agite candidement son petit visage avec le mouvement de ses paupières déliquats, vous ne savez rien de ces petits enfants qui vers 17hs le soir, s’alignent devant le portail de la maison pour accueillir leur papa.

Ses enfants aux gestes poétiques qui se pressent à lui prendre sa veste,son sac; à lui retirer les chaussures et à jouer avec sa cravate. Lorsque vous rentrez chez-vous le soir, c’est le silence total, un silence de cimetière, il n’ya personne. Votre femme, qui était la femme de votre aîné académique est la maîtresse de votre ami.

La pauvre a besoin d’un enfant. Pour napper votre frustration du moindre paravant de l’homme droit dans ses bottes, vous prenez votre laptop, vous ouvrez votre fesse-book et vous versez dans son utérus, votre page, toute la fertilité que vous n’avez pas dans votre sperme. Et votre page fesse-book accouche alors des petits monstre-mots à l’image du sang maudit que vous êtes, sang maudit de votre père, de Biya et de toute la troupe de cannibales mangeurs d’agouti et buveur de sang de bébés, tenez. . . une tâche à l’angle de votre museau tordu.

Avez-vous un mouchoir?
Lorsque vous avez fini de boire du sang de cet enfant, de ces enfants, vous venez demander pardon? Allez vous faire foutre! Vous payerez tous pour ces injustices, pour ces crimes. Vous les payerez tous!!

 

Par Kand Owalski, ouvertement vôtre

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