“Quand nous avons observé qu’il y avait duplicité de language entre ce que la commission disait et le rapport que le gouvernement camerounais donnait au chef de l’État, nous avons demandé une audience au chef de l’État, audience où nous lui avons transmis l’État d’avancement réel des travaux”
“Nous étions obligés de solliciter cette audience malgré les élections présidentielles, car la situation était alarmante, le Président camerounais se faisait berner par son entourage”
“Vu la vidéo de l’État réel d’avancement des travaux que nous avons montré au Président Biya, il savait que l’organisation serait retirée au Cameroun”.