D’après le journaliste web camerounais en exil Miche Biem Tong, en ce moment où la nouvelle sur la vraie-fausse mort de Paul Biya parcourent le pays, le clan ethnofasciste ekang-beti se mobilise pour trouver un successeur à Biya afin de conserver les privilèges qu’il a mal acquis à presque 40 ans de pouvoir.
L’activiste appelle les Camerounais à se soulever le moment venu par la rue ou par les armes pour ne pas se laisser voler sa souveraineté par un groupuscule d’incompétents et de profito-jouisseurs qui ne leur auront apporté que misère, déshonneur et désolation.
Succession/Franck Biya ou Ngoh Ngoh, attendez-vous à la rébellion (2/2)