LE RÉGIME BIYA ENVOIE LES SERVICES SECRETS ÉLIMINER LES JOURNALISTES ET CYBER -ACTIVISTES: J. Remy Ngono frappe sur le ministre  Laurent Esso

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Par lettre circulaire No 352 du 20 octobre 2017, le ministre camerounais de la Justice Laurent ESSO donne l’ordre aux magistrats d’ 《 engager après leur identification précise par les services de sécurité, des poursuites judiciaires contre toutes personnes qu’elles résident au Cameroun ou à l’étranger, et qui recourent aux réseaux sociaux pour propager les fausses nouvelles 》.

Aussi débile eût -il été, un vieux ministre d’État, de surcroît magistrat hors hiérarchie comme Laurent ESSO, n’aurait jamais imaginé que la justice camerounaise serait dotee de super pouvoirs pour poursuivre les journalistes et cyber activistes Camerounais d’un bout à l’autre de la planète. Mais derrière la fanfaronnade et l’enfumage de cette circulaire , les plans criminels du régime BIYA avancent masqués. En fait, il s’agit d’envoyer en mission les agents secrets camerounais à l’étranger pour aller repérer les domiciles des journalistes et cyber activistes, les épier, les exploiter, et les éliminer.

Depuis 35 ans, Laurent ESSO a géré tous les postes clés du régime : Défense, Relations Extérieures, Cabinet civil, Secrétariat Général de la Présidence, et maintenant la Justice pour jeter tous les candidats potentiels à la présidence en prison. Dans les moments de crise, à la manière d’un corbeau, cet obscur personnage surnommé ” le coeur du pays”, se pare de ses habits de DRACULA, enfile ses gangs pour protéger la citadelle de son Jupiter BIYA. Tous ses plans se terminent dans le sang. C’est lui qui est responsable de l’arrestation et de la mort du journaliste BIBI NGOTA tué en prison le 22 avril 2010. En juillet 2013,Charles ATEBA EYENE a hurlé sur les ondes des radios privées :《 Laurent ESSO a tué BIBI NGOTA. Il voulait me recruter dans les sectes》. Un mois après, il a commencé à tomber. Opéré des amygdales et essoufflé, il est mort avec des poumons noircis par le poison le 21 février 2014. Bien avant ATEBA EYENE, Alfred ZIBI NGAMBA, directeur de publication du journal L’ INDIC, avait été tué en mai 2013, après avoir cité le nom de Laurent ESSO dans les pratiques sataniques.

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Laurent Esso

Plusieurs réunions nocturnes avec les pontes du régime se tiennent depuis des mois dans le domicile de Laurent ESSO au quartier Mvan à Yaoundé dans une fugacité de complots macabres , et un buffet d’une drôle de viande saignante servie par Suzanne M. Un seul sujet à l’ordre du jour: dresser la liste des journalistes et cyber activistes susceptibles d’influencer la crise anglophone et l’élection présidentielle 2018 afin de les éradiquer. Juste avant l’arrivée de Paul BIYA en France pour le sommet du climat, Laurent ESSO a dressé une liste qui a été transmise à la DGRE ( Direction Générale à la Recherche Extérieure ). Parmi les gibiers à abattre figurent mon nom, ainsi que ceux de Patrice NOUMA, Boris BERTOLT, Junior ZOGO, SEME NDZANA, Modestine Carole TCHATCHOUANG, Kenedy EJACHA, Ivo TANKU. La deuxième liste a été confiée aux hackers pour bloquer ou détourner les comptes des activistes des réseaux sociaux.
Plus le temps avance, plus les momies du régime BIYAMEROUNAIS rebondissement du sarcophage pour assassiner les journalistes et activistes en utilisant leurs vieilles méthodes. Le 25 octobre 1988, ils ont liquidé Joseph MBASSI , directeur du journal L’ EFFORT. Le 12 juillet 2010, ils ont suivi Pius NJAWE , fondateur du MESSAGER,́ jusqu’aux États-Unis, ont saboté sa voiture et ont envoyé un camion l’écraser sur une autoroute en Virginie où il était en panne . Le 4 novembre 2011, ils ont saboté le véhicule de Jules KOUM KOUM, directeur du JEUNE ENQUÊTEUR, et ont chargé un militaire d’aller l’ écraser avecc un camion grumier alors que son véhicule était aussi tombé en panne.

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De la même manière que Jean Lambert YENE ABEGA, agent secret camerounais se tapait la poitrine d’avoir participé à l’assassinat de Jules KOUM KOUM pour 《 l’ intérêt supérieur de l’ État》lors d’une interview accordée à Cameroon -Info. Net, les tueurs à gage du régime BIYAMEROUNAIS ont déjà commencé par aller saccager le véhicule de Modestine Carole TCHATCHOUANG, envoyer des menaces anonymes , s’attaquer à nos pages FACEBOOK, au point où je n’ai plus d’accès pour publier sur mon mur REMY NGONO officiel depuis la nuit du 24 au 25 décembre.

Qu’ importe! Je vais continuer à publier sur REMY NGONO officiel 1, en attendant mon exécution et celle de mes compagnons qui dont la condamnation à mort a été prononcée par le ministre d’ État, Procureur et Président des juges de la Cour de la tyrannie. Comme le disait John MILTON: 《Mieux vaut la liberté en enfer que l’esclavage aux cieux》.

J. Remy Ngono

J. REMY NGONO
Ce type est très dangereux. Ne regardez pas ses yeux.

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