Poésie de Maurice Kamto et léçon de choses de Arlette Doumbé Ding à la bande de “juges” vêtus de leur toge en fibres de haine .
Rien n’est aussi hilarantes que les sentences de ces “juges” sans jugeote qui écument l’espace public vêtus de leur toge en fibres de haine .Quand la haine devient votre unique moyen d’expression dans l’espace public , elle traduit parfois en même temps un certain aveu d’impuissance devant plus fort que vous.
Pire encore, elle vous vide de toute crédibilité non sans donner de vous l’image peu envieuse de clown indigne de considération.En voulant jouer au génie, le crétin le plus souvent se déshonore du ridicule.
Un peu comme avec cette fameuse lecture du plagiat qui sonne comme la sentence d’un juge sans jugeote. Juger le plagiat au seul titre du livre et non à son contenu témoigne de ce que ceux qui le font n’ont jamais fréquenté les allées d’une bibliothèque.
C’est un peu comme ces arrestations au faciès qui étaient motivées par tout sauf par des mobiles liées à la loi. C’est à dire une affaire qui découle plus de la haine que de la raison et qui est en fait un trait caractéristique du crétinisme.La critique est un art à ne jamais confondre avec l’art d’exalter la haine sous les feux de la jalousie.
Source: Arlette Framboise Doumbé Ding