Vincent Sosthène Fouda parle du microtribalisme de Owona Nguini: JE METS NGUINI AU DEFI ICI d’AFFICHER SES 3 DIPLOMES POST-BAC
Bonjour, vous êtes nombreux à m’avoir interpelé sur une affirmation du prof Owona Nguini relative au(x) peuplement(s) de la ville de Yaoundé voire des régions du Centre et du Sud.Le raisonnement du Prof. Owona Nguini est malheureusement faux mais porte avec lui le sceau de la logique dite primaire
Je Vais le Redire Ici en Ecrivant comme lui – l’Imposture de Nguini a assez duré. Sur l’Origine de Kodengui il oublie ce qu’il dit à l’époque!Sur les Mouvements Migratoires à Yaoundé et dans les régions administratives du Centre, du Sud et de l’Est.Maintenant, Monsieur Nguini croit qu’il peut compenser sa non maitrise de la langue Ewondo ou Bëti, en faisant des rapprochements langagiers partant de la langue bassa’a dont sa maitrise est, elle aussi, sujette à caution… C’est ce qui explique en partie seulement l’essentiel de ses conclusions FONCIEREMENT INDUCTIVES LORQU’IL ABORDE DES SUJETS DELICATS DONT IL N’A PAS LA COMPETENCE.Nous avons encore la réaction la réaction de Mballa Elanga Edmond alors directeur au MINAC lorsque NGUINI voulu construire par je ne sais quelle ALCHIMIE une Origine à NKODENGUI.
Pour ce qui est des parchemins – JE METS NGUINI AU DEFI ICI d’AFFICHER SES 3 DIPLOMES POST-BAC c’est à dire sa licence de droit public – son DEA de sciences PO Bordeaux et son DOCTORAT – Je METTRAI ALORS ALORS ICI AUSSI pour faire TAIRE l’IMPOSTURE 9 diplômes Symboles EKANG
Bonjour, vous êtes nombreux à m’avoir interpelé sur une affirmation du prof Owona Nguini relative au(x) peuplement(s) de la ville de Yaoundé voire des régions du Centre et du Sud.Le raisonnement du Prof. Owona Nguini est malheureusement faux mais porte avec lui le sceau de la logique dite primaire.Un raisonnement solide repose toujours sur des prémisses pertinentes relativement à la conclusion.
Des raisons qui n’ont rien à voir avec la conclusion ne mènent pas nécessairement à l’erreur, toutefois, dans la mesure où l’on a assez d’éléments de preuve pertinente pour soutenir la conclusion. En revanche, si les raisons que l’on donne à l’appui d’une conclusion n’ont rien à voir, on commet un non sequitur. Le sophisme de dieu tombe dans cette catégorie.Pour faire simple, Owona nguini part des noms des rivières de son village, du nom d’un village de Yaoundé; Simbock, pour faire de ces territoires, des territoires Bassa’a.
Peut-être du fait qu’il soit culturement bassa’a par sa maman, cette fibre altère son esprit scientifique.Première chose, qui a orthographié Simbock? En Ewondo par exemple Sii-Mbock ne veut-il pas dire Trou, “creux” est certainement le mieux indiqué ? Et non terre de Mbock? Dans ce nom composé, les deux termes ont une signification en ewondo.Prenons un autre exemple: On a toujours attribué à Amadou Hampâté Ba la citation suivante: “un vieillard qui meurt est une bibliothèque qui brûle”. Il y avait-il des bibliothèque en Afrique? La réponse est non.
Hampâté Ba a-t-il réellement prononcé cette phrase? La réponse est aussi non. Mais c’est passé dans le langage commun. Ce que Hampaté Ba a dit c’est ceci: ” Je pense à cette humanité analphabète, il ne saurait être question de livres ni d’archives écrites à sauver des insectes, mais il s’agira d’un gigantesque monument oral à sauver de la destruction par la mort, la mort des traditionalistes qui en sont les seuls dépositaires. Ils sont hélas au déclin de leurs jours. Ils n’ont pas partout préparé une relève normale.
En effet, notre sociologie, notre histoire, notre pharmacopée, notre science de la chasse, et de la pêche, notre agriculture, notre science météorologique, tout cela est conservé dans des mémoires d’hommes, d’hommes sujets à la mort et mourant chaque jour. Pour moi, je considère la mort de chacun de ces traditionalistes comme l’incendie d’un fond culturel non exploité. L’Unesco peut présentement, avec quelque argent, combler la lacune. Mais dans quelques décennies, tous les instituts et institutions du monde, avec tout l’or de la terre, ne pourront combler ce qui sera une faille culturelle éternelle imputable à notre inattention.
C’est pourquoi, monsieur le Président, au nom de mon pays la république du Mali, et au nom de la science dont vous êtes un éminent représentant et un vaillant défenseur, je demande que la sauvegarde des traditions orales soit considérée comme une opération de nécessité urgente au même titre que la sauvegarde des monuments de Nubie. ” A partir de là, écrivez tout ce que vous voulez, le commun des mortels vous dira Hampâté Ba a dit et le prof. Nguini est dans cette logique. Prenons un autre exemple: Ebolowa ou Ebolo’o waa ou Eboal Wa – le chimpazé pourri – Cette ville aujourd’hui bulu a pourtant par l’origine de son nom des ancêtre Benë et non Bané comme on dit au Cameroun. On orthographie Biwon-Bané qui ne signifie rien du tout on devrait écrire Biwon-Benë qui signifie la clairière des Benë.
Il faut donc inviter le prof. Owona Nguini à un argument cohérent qui doit en outre être juste, c’est-à-dire ne pas déformer les preuves, ni exagérer ou sous-évaluer la force des données précises. Nous risquons alors de tomber dans le sophisme et le sophisme de l’homme de paille risque de violer ce principe d’équité.La ville de Yaoundé n’est donc pas un territoire autrefois occupé autrefois par les Bassa’a. Yaoundé est une ville Ewondo et Benë.
Source: Vincent Sosthène Fouda