Fo’o sokoudjou Mpoda : Si le bois frais brûle déjà bien au feu comme ça , c’est que le bois sec est entrain de préparer l’incendie.
Donc c’est que comme ça jusqu’à voilà que la femme du chef est restée en brousse et partir sa part avec le cadavre du chef entre les mains qu’elle à cherché la route pour l’enterrer à la maison sans trouver!!!Nous ne faisons que augmenter les malédictions sur les autres comme ça qu’ on se tiendra où pour retirer? Donc il manque notre part de grandes personnes qui peuvent à un moment demander qu’on s’arrête un peu pour regarder si on n’est pas entrain de se tromper de route? quand on se trompe de chemin on courre seulement.
A un moment il faut laisser de côté les choses de la corde corde pour regarder les choses sur la tête de notre pays. Que tu sois de n’importe quel côté tu es que sur ça!!Regardez comment un pays se perd sans que personne ne se gratte le corps!!Tumi a même déjà dormi dans la terre?Monkam pascal est même déjà parti jusqu’à arrivé?Nous avons même déjà pleuré Alim Hayatou, Mukete, Bernard Njonga?On a même déjà enterré Lazare kaptué, jean Michel Tekam ?
Mendo Ze est même déjà descendu jusqu’à arrivé à terre?Nos parts de “sages” les parlementaires sont en route ils partent jusqu’à s’empresser comme ça qu’ils partent ou?L’autre ci que la femme du chef travailles maintenant la c’est encore quelle qualité?
Est ce qu’il ne ressemble pas quelque chose que Dieu est entrain de nous parler et que nous refusons d’écouter? Où comme nous avons déjà mis que nous allons tromper nos corps nous pensons aussi que nous pouvons tromper dieu? Demandons nos corps que qu’est ce qui est entrain de se passer comme ça dans notre pays? Où dieu a donné la clé de la maison de la mort de notre pays a un aliéné?
Si le bois frais brûle déjà bien au feu comme ça , c’est que le bois sec est entrain de préparer l’incendie. Nous allons comme ça pleurer jusqu’à en simplifiant qu’on se souvient comment on vivait bien dans la maison et on espère qu’ils ont laissés leurs sacs de magie avant de partir?
La plus part partent comme ça avec le cou qui fait mal chacun préférant partir avec son sac que même si par deriere le pays s’arrête il est encore où pour voir? Et c’est comme ça une mauvaise chose jusqu’à on part à l’eau jettéRegardez comment un morceau de notre pays pays se perd!! Donc nous allons comme ça être chaque jour toujours entrain de recommencer?
Chacun dans sa tête dormant le rêve que le pays c’est lui!!!Donc il est comme ça la nourriture qu’on mange à fermer nos têtes si bien que les choses ne peuvent pas sortir comme ça, certains deux ou trois personnes disent que asseyons nous pour demander qu’est ce qui est entrain de se passer? Si tu connais la vérité et tu ne dis pas pour qu’on sauve la tête du peuple sache que tu as porté jusqu’à c’est lourd sur toi.
Au lieu qu’on t’essuie avec les cacas, la mort te porte avant qu’on reste mettre comme on va mettre? Nous restons jusqu’à croire que nous pouvons dormir le sommeil que nous avons tappés le tamtam de ceux qui ont versés leur sang pour ce pays où et quand? Ceux qui sont parti et qui ne sont jamais revenu, nous avons fait quoi sur leurs têtes?
Où comme vous mangez aujourd’hui jusqu’à être rassasiés, la malédiction n’existe pas? Nous ne sommes encore que le matin.Même comme certains disent que si ça ne sort pas que de leur bouche, c’est qu’on ne dit rien, sachez que quand le sel se perd on cherche même dans l’eau. Personne ne restera ici et chacun en faisant n’importe qoui pense au matin.
En pleurant le pays pleure ton propre corps car nous partirons tous et laisserons le pays que par terreIl ne faut pas qu’en se perdant nous soyons là, scouons nos corps avant de ne pas voir la route. Je ne travaille que ma part que les dieux de mes ancêtres m’ont envoyés travailler même comme vous allez raser le gourdin pour me chercher. Mes mains seront toujours propres sur ces choses.C’est toujours avec les larmes des yeux que je lance les mains aux enfants de ce pays, il faut s’asseoir par terre pour bavarder. Même si nous esquivons jusqu’à nous en sortir , les enfants des enfants de nos enfants ne s’en sortiront pas.
N’accouchons pas les enfants et nous ecrasons encore leur poison nous déposons par terre avant de partir. Les choses sont beaucoup comme ça dans ce pays c’est la quantité de parler personne n’écoute et la tête qui ne comprends pas quelque chose comprendra que dans la terre. Cherchons quelque chose sur la tête des enfants que nous accouchons la, n’eteignons pas le pays avant de partir.
Rien n’a jamais dépassé qu’on peut arranger. Creusons pour enlever les pierres que nous ne faisons que enterrées au sol pour empêcher que demain on prend les rancunes et les règlements de comptes pour réveiller les cadavres. si non nous mettons dans nos têtes que les enfants que nous jetons comme ça avant de partir, on les laisse comme ça sur les mains d’arbres secs. Que tous les enfants du pays se retrouvent sous l’arbre a palarbre pour se parler, se pardonner, se réconcilier et trouver le moyen de couper le torrent avant que le ” ja’ack tso’oh” ne passeMa part que je connais c’est le jujube et l’arbre de paix.
En dehors d’aller dans la maison des têtes et demander à mes ancêtres de couvrir le Cameroun, l’Afrique et le monde, je ne connais pas moi l’autre. Que de m’aimer avec le mensonge, le devant c’est que je dise la vérité ça me porte et les dieux de mes ancêtres coupent mon affaire.
Oui, Germaine, voilà que tu es parti avec ta part, en partant comme ça, lave ton cou et tu arrives avant de savoir ce que tu vas dire avec nos ancêtres. N’oublie pas de saluer Ahidjo et tu lui dit que même si le deriere est resté être n’importe comment, qu’il ne jette pas l’oeil sur le pays.Laissons de chasser nos ventres, prenons les enfants des couteaux que nous avons limés pour mettre entre les mains des enfants pour leur donner la route de dormir le sommeil demain.
Fo’o sokoudjou Mpoda ce matin du 25 avril