Après qu’ils aient soulignés la menace à l’ordre publique que constituent les membres et sympathisants du RDPC au regard des évènements de Sangmélima et Ebolowa, ils commentent pour nous les multiples interdictions systématiques des réunions et manifestations publiques des formations politiques de l’opposition, la mobilisation des partis politiques de l’opposition à prendre part aux prochains évènements électoraux, la non application concrète des recommandations issues du GRAND DIALOGUE NATIONAL plusieurs semaines après.
Ils prédisent pour conclure, comment se terminera la répartition de l’ensemble des députés aux législatives prochaines.
Débuté le lundi 30 septembre dernier, le Grand dialogue National que coordonnait le Premier Ministre Joseph Dion Ngute sur instruction du Président Paul Biya, s’est achevé le vendredi 04 Octobre par une recommandation qui fait encore couler beaucoup d’encre et de salive : un statut spécial pour les régions anglophones.
Quel sentiment, les conclusions de ce grand dialogue ont suscité dans la diaspora camerounaise de France ?
Pour en savoir davantage,
– Véronique Lehman : déléguée à la communication pour le RDPC section France Nord
– Abdelaziz Mounde : journaliste
-Père François-Xavier Nsi Essono : prêtre du diocèse d’Evry et Corbeil Essonne ,
3 consultants aux casquettes totalement différentes, ont accepté d’en débattre sur Diaf-tv.
Ci-dessous, l’intégralité de cette 1ere partie du débat dans votre émission.
L’intégralité de cette deuxième partie dans la vidéo ci-dessous.