L’intelligence camerounaise ignorée ou combattue chez elle brille de mille feux ailleurs
Les prouesses intellectuelles du Cameroun, à l’échelle internationale, n’ont pas encore finir de livrer ces secrets les plus prestigieux. La sphère internationale n’a pas encore fini de fêter l’élection du diplomate et universitaire, Docteur Maurice KAMGA à la fonction de juge du tribunal international de droit de la mer de Hambourg en Allemagne, qu’elle résonne de l’élection du professeur Hugues KENFACK, enseignant émérite de droit privé mondialement reconnu, Professeur invité à l’Université de Douala (depuis 2010), agrégé de droit et maître de conférences comme président de l’université de Toulouse Capitole en France. Cet enseignement de prestige du pays des professeurs Stanislas Meloné, Maurice Kamto ou Roger Gabriel Nlep, autres illustres juristes, a battu Corinne MASCALA la présidente sortante par un suffrage de 17 voix contre 14.
Les élections à la présidence de cette université française ce sont déroulés le mardi 24 novembre 2020.
Il est important de souligner au marqueur que, ce poste honorifique que vient de décrocher cet enseignant de nationalité camerounais, intervient plusieurs mois après le sacre élective du diplomate et universitaire Camerounais, Docteur Maurice KAMGA à la fonction de juge du tribunal international de droit de la mer de Hambourg en Allemagne.
Professeur à l’université de Toulouse depuis 2004, Hugues Kenfack prend donc la tête d’une institution historique de la ville, la deuxième université la plus ancienne en France après celle de Paris (elle fêtera dans neuf ans son 800 ème anniversaire).
Ce professeur de droit a une carrière incroyable l’amenant à travers le monde pour des conférences ou encore diriger le collège international de droit français et européen de Varsovie entre 2002 et 2004.
Si on ajoute ces couronnes françaises a celles que de nombreux pays africains sont entrain de tisser a l’homme d’affaires, le Dr Paul Fokam Kenmogne, comme nous l’avons signalé dans notre précédente édition, on peut simplement conclure que quand le Cameroun s’éveillera, l’Afrique s’illuminera.
E. FOPOUSSI FOTSO